Mot anglais "marketing", parce qu'on a été inondé depuis l'après guerre de ça. La chose. La chose publicitaire.
Cette animation assez moche montre sommairement que d'un chois simple on est passé à un labyrinthe inextricable de possibilités de choix. Du pile ou face sommaire, on en est arrivé à un
organigramme complexe de choix qui se succèdent au rythme croissant des dépassemens par les mises à jour.
C'est une fable caricaturale sur la diffraction du modernisme. Caricaturale ? Fable ?
le monde merveilleux de l'informatique en est un exemple sommital avec ses incessantes innovations, ces intarissables mises à niveau, ces innombrables starup, ce fourmillement de logiciels maillés,
mis en réseaux, ces débordements d'actualités. La notion d'objet s'y est perdue.
Effectivement, autrefois, il y a, disons, à peine 50 ans : les choix étaient sommaires, les sollicitations peu nombreuses, linéaires, cernables, nettes. A l'heure actuelle, un foisonnement de
possibilités noie l'objet sous un tissu de références qui ne perdureront qu'à peine un an ou deux.
L'accélération de l'accélération, dont parlait Virilo.