La falsification massive de l'histoire

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«Il est cocasse de découvrir le pouvoir que ce journaliste attribue à ceux qui publient dans des revues spécialisées et vivent dans les salles d’archives, loin des plateaux télés, quand on sait la puissance des réseaux dans lesquels il est installé.»

Excellent article de Gérard Noiriel. Hier nous avions #Drumont, l'antisémite. Aujourd'hui nous avons #Zemmour, l'antimusulman, historien de 4e zone, idéologue moisi, pamphlétaire sans scrupules. Après Drumont, il y eut Vichy. Après Zemmour, il y aura quoi? https://t.co/2dnuh8drAR

— Esther Benbassa (@EstherBenbassa) 29 septembre 2018

Ces propos de #Zemmour ou ceux d’#Onfray relèvent du même complotisme brun : « les historiens de métier « ont titres et postes. Amis et soutiens. Selon la logique mafieuse, ils ont intégré les lieux de pouvoir et tiennent les manettes de l’Etat » https://t.co/foMwMk2RlT

— Guillaume Mazeau (@Guill_Mazeau) 29 septembre 2018

Rappelons un fait : Eric Zemmour n'est pas historien, il n'a aucun diplôme universitaire en histoire, il n'a publié aucun article dans une revue d'histoire à comité de lecture. Ni respect des méthodes, ni reconnaissance par la profession https://t.co/59ZcSd43AU #FakeHistoire 🎓

— Valéry Rasplus (@ValeryRasplus) 29 septembre 2018

Le dernier livre d'Eric #Zemmour (Un destin français, @AlbinMichel) consacre un chapitre aux #croisades. Aujourd'hui on va essayer de montrer (calmement...) que ce chapitre repose sur des contre-vérités. A dérouler ⬇️ ! #histoire #factchecking #medievaltwitter pic.twitter.com/ln0uJl8pfB

— Actuel Moyen Âge (@AgeMoyen) 27 septembre 2018