Rangement forcément artificiel (pas facile de quantifier la difficulté), cette progression donne tout de même à voir (et à entendre) au néophyte comme moi la maîtrise qu'il faut avoir pour interpréter certaines partitions et d'y ajouter une âme. Et l'âme ne vient qu'avec la difficulté dépassée. On reste dans le registre classique. je pense qu'en musique contemporaine ou en jazz, des titres doivent être aussi subtilement délicats à exécuter que ce concerto déconcertant de Paganini.