«Je ne suis pas une petite chose fragile. Je ne réclame pas d’être protégée mais de faire valoir mes droits à la sécurité et au respect. »
Ça doit être tellement reposant d’être un homme...
— Laure Salmona (@curiosarama) 12 janvier 2018
Parce que moi, en tant que femme, je crains d’être tuée, violée, agressée ou harcelée sexuellement par un homme.
Donc vos histoires d’ascenseur ça me fait bien marrer. pic.twitter.com/0R0zGCP4A5
Une idée de l'Enfer serait d'avoir à choisir entre Catherine Millet et Caroline de Haas ; entre la maso cérébrale qui se fait fouetter par les pages saumon du Figaro et la cinglée décérébrée à QI de pintade qui croit que son utérus est la 8e merveille du monde...
— Hélène.K (@HK__49_3) 10 janvier 2018
Dites moi que c’est un cauchemar! 😱
— Natacha Bras⭐️ (@Onlygold20) 9 janvier 2018
«Si toutes les jolies filles fuient maintenant les hommes de peur d'être harcelées, peut-être que celles qui sont moins jolies peuvent en profiter trouver leur place auprès de ces hommes». Catherine Millet, France Inter, novembre 2017
Après « on peut jouir d’un viol », je propose à Brigitte Lahaie « on peut se sentir plus léger grâce à l’amputation », « on peut se sentir vivant grâce à la torture »,en revanche,j’ai une question: on peut se sentir intelligente en disant de telles conneries?
— profette (@ProfetteNath) 10 janvier 2018
Brigitte Lahaie lâchée par les signataires de la tribune du Monde après ses propos sur le viol
Face à Caroline de Haas mercredi soir sur notre antenne, Brigitte Lahaie a affirmé qu'il était possible de " jouir lors d'un viol ". Ces propos indignent jusqu'aux signataires de la tribune paru...
. @BrigitteLahaie1 a regretté ses propos et s'en est excusée en larmes sur le plateau de @PatrickSimonin
— TV5MONDE (@TV5MONDE) 12 janvier 2018
Un entretien à retrouver ce soir à 18h50 (Paris) sur nos antennes pic.twitter.com/OlWvNeSaeM
Nadine Morano défend Frédéric Haziza et estime qu'être "opportunée" peut déboucher "sur de belles histoires". Oui, se faire pincer les fesses par Haziza, c'est souvent le début d'un conte de fées pour une femme...
— Eric Naulleau (@EricNaulleau) 12 janvier 2018
Alors ! Qui c'est qui avait raison ? pic.twitter.com/KuQzbVT3ZK
— Soeur Foune (@SoeurFoune) 10 janvier 2018
Catherine et le féminisme, une pièce en trois actes pic.twitter.com/4zaLjQmRMc
— Loopsider (@Loopsidernews) 12 janvier 2018